

101 dalmatiens : Quelques informations
Le titre en français du film est bien Les 101 dalmatiens, tout comme le film d'animation. Toutefois, afin d'éviter toute possibilité de confusion, j'ai volontairement choisi de le nommer simplement 101 dalmatiens dans cette page.
101 dalmatiens est sorti en salle le 27 novembre 1996 au Québec et le 26 mars 1997 en France. Il bénéficie d'un doublage québécois. On notera également que des centaines de chiots ont été utilisés dans ce film, car ils grandissaient trop vite pendant le tournage. Le film relança également la mode du dalmatien, au point d'obliger les associations des droits des animaux à lancer un appel contre le mauvais traitement et l'abandon.
Le saviez-vous ? Les jeunes chiots du film assistent à une projection télévisée du film Les aristochats, mais le thème ne leur convenant pas vraiment il préfère finalement changer de chaîne au profit de "L'incroyable voyage".

Résumé
Pongo est un superbe dalmatien qui vit à Londres chez son maître Roger, un jeune concepteur de jeux vidéo. Perdy, qui arbore elle aussi le célèbre pelage tacheté de noir, loge non loin de là chez Anita, dessinatrice de mode pour la maison de couture de la redoutée Cruella d'Enfer. Lorsque Pongo croise Perdy au parc, c'est le coup de foudre. Roger et Anita, poussés dans les bras l'un de l'autre par leurs fidèles compagnons, connaissent le même sentiment. Et quelques mois plus tard, les deux couples attendent un heureux événement. Mais ce bonheur est rapidement terni par la diabolique Cruella d'Enfer. En effet, celle-ci charge ses deux sbires, Jasper et Horace, de s'emparer de la portée, qu'elle envisage déjà de transformer en un superbe manteau de fourrure...

Analyse de l'oeuvre 445Olivier J.H. Kosinski
Avec 101 dalmatiens nous assistons à une chose absolument inimaginable et surtout unique en son genre : la transposition du film d'animation Les 101 dalmatiens en chair et en os, avec de véritables comédiens et surtout d'innombrables animaux. Le pari était extrêmement audacieux, et il se révèle finalement relativement convainquant. Toutefois, les scénaristes se permettent plusieurs libertés, en commençant par implanter les évènements dans les années 1990. Le choix se révèle assez risqué car le film manque parfois de crédibilité, en particulier du côté des êtres humains.
Assez ironiquement en effet, là où le film cloche c'est indiscutablement du côté des acteurs. Impossible de croire une seule seconde qu'une simple rencontre fortuite entre Roger (Jeff Daniels) et Anita (Joely Richardson) qui finit dans une mare d'eau se conclut le soir même par une demande en mariage ! Clairement, Les 101 dalmatiens s'en sortait bien mieux dans cet effet de style. Pourtant, la personnification des personnages par des comédiens se révèle agréable et plutôt bien choisie. On apprécie ainsi tout autant l'adorable Nanny (Joan Plowright) assez fidèle à la vision du film d'animation, tout comme le duo comique Horace (Marc Williams mieux connu comme M. Weaslay dans la série Harry Potter) et Jasper (Hugh Laurie mieux connu pour son rôle de Dr House). Mais celle qui crève littéralement l'écran est sans aucun doute possible l'inoubliable Cruella d'Enfer. Glenn Close livre ici une interprétation sur mesure au personnage, dans des registres aussi vastes que le permet le scénario du film. Complètement déchaînée et investie par Cruella d'Enfer, Glenn Close est admirable dans le rôle de la machiavélique femme adoratrice de fourrures. On adore clairement la détester ! Or, il s'agit malheureusement de la seule comédienne qui tire véritablement son épingle du jeu.
A contrario, les animaux sont incroyables de réalisme et tous - sans exception - sont merveilleusement crédibles. Le parti prit de ne pas les faire parler est un coup de génie indéniable. Les différents chiens interprétant Pongo et Perdita notamment sont admirablement dressés, ils arrivent à étonner le public qui les regarde de par leurs faits et gestes naturels. D'un bout à l'autre du film, on s'émerveille à les admirer jouer la comédie avec une extrême précision. Ne pouvant exprimer des émotions ou des actions par la voix, le résultat est tout simplement superbe. Si l'on excepte quelques passages du film qui nécessitent le recours à des animatroniques ou à des images de synthèse, la quasi-totalité des actions vues à l'écran sont réalisées par les animaux. Chapeau bas à toute cette ménagerie !
Dans les grandes lignes, 101 dalmatiens se révèle assez fidèle à Les 101 dalmatiens. Le film s'évertue même à rendre hommage à son aîné en personnifiant certaines scènes cultes. Par contre, il n'arrive pas à échapper au cliché du film familial Disney par excellence. Il s'agit avant tout d'une comédie pure et dure, où la plupart des comédiens sont obligés de surjouer voire caricaturer leurs actions. Il est évident que certaines personnes n'apprécieront pas cela dans le film et le bouderont sans aucun ménagement. On ne peut vraiment pas le leur reprocher. Au contraire, les autres mourront de rire devant la stupidité affligeante de Horace et Jasper, particulièrement lorsqu'ils font face à des animaux belliqueux, dont un irrésistible trio de ratons-laveurs.
101 dalmatiens fut unique en son genre car il n'existais jusqu'à ce jour aucun autre représentant du même genre dans la famille Disney. Véritable « remake » d'un film animé transposé à un monde réel, le film est une franche réussite dans le genre parodique. Même s'il s'adresse exclusivement à ceux qui connaissent déjà Les 101 dalmatiens, la composition inoubliable de Glenn Close en Cruella d'Enfer, mais surtout l'extraordinaire ménagerie animalière remportent tous les suffrages. A déguster sans aucune modération afin de chatouiller vos zygomatiques et émerveiller votre journée.
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